Free Gaza – un peu partout dans le monde résonne ce slogan. Mais de qui et de quoi faut-il libérer Gaza ? Comment procéder ? Quelles solutions ont-elles déjà été discutées ou essayées depuis les accords d’Oslo ? Et pourquoi le retrait unilatéral israélien de l’enclave palestinienne en 2005 n’a-t-il pas eu les résultats espérés ?
Les massacres du 7 octobre 2023 et la riposte militaire israélienne qui s’en est suivie montrent surtout que les politiciens de tous bords et de toutes nationalités, jusque dans les plus hautes instances internationales, ont trop longtemps négligé les conséquences désastreuses de la pauvreté et de l’endoctrinement idéologique sur la stabilité de la région. Tous portent une lourde responsabilité : aucun d’entre eux n’aurait dû ignorer (ou faire semblant d’ignorer) que la libération de Gaza passait nécessairement par un prérequis : celui d’affranchir les Gazaouis de la tutelle oppressive du Hamas – cette organisation terroriste qui les maintient délibérément dans des conditions de vie misérables pour mieux les asservir et les instrumentaliser.
Aujourd’hui, il convient d’organiser l’après-guerre. Pour ouvrir la voie à une véritable libération de Gaza sans sacrifier la sécurité des populations locales, l’Institut pour des réformes structurelles (ONG israélienne travaillant sur les conditions d’une paix juste et durable) propose des
solutions pour rompre le cycle vicieux de la misère, du fondamentalisme et de la terreur.
