La structure topologique de l'inconscient

Une suite à L'étourdit

Jean-Gérard Bursztein
couverture
Dans son écrit de 1972, « L’étourdit », Lacan ouvre une immense problématique, celle de « la stricte équivalence entre structure et topologie ». Puis il se risque à une présentation de la topologie qu’il qualifie d’imaginaire, voire d’abus imaginaire. Nous sommes donc aujourd’hui –  dans un temps qui est celui de l’après « étourdit »  – confrontés à l’abus de figures topologiques réduites à des dessins. Ceux-ci ratent tant la conceptualité et la dynamique topologique que leurs enjeux psychanalytiques. C’est pourquoi je reprends cette problématique de l’équivalence entre structure et topologie, ainsi que l’étude « L’étourdit », pour en extraire quelques éléments de ce que j’appelle « topologie subjective ». Topologie subjective que j’attache à la singularité de chaque psychanalyste et que je différencie des éléments de topologie générale. En effet, la topologie du psychanalyste ne relève que d’espaces singuliers, ce que j’appelle topos.



 
Plus de livres du même auteur
couverture-de-livre

Le réel, catégorie référentielle de la psychanalyse

Jean-Gérard Bursztein

27/10/2021

couverture-de-livre

Quelques avancées en topologie subjective et en théorie psychanalytique

Jean-Gérard Bursztein

25/09/2024

couverture-de-livre

Ce que la psychanalyse nous enseigne, comment l'enseigner ?

Jean-Gérard Bursztein

28/02/2024

2019 © éditions Hermann. Tous droits réservés.
Nous diffusons des cookies afin d'analyser le trafic sur ce site. Les informations concernant l'utilisation que vous faites de notre site nous sont transmises dans cette optique.